Descriptif du projet Regards intimes sur le GIEC

Ce projet a pour objectif de mettre en lumière de manière artistique des hommes et des femmes engagée·s à la fois en tant que scientifiques et en tant que citoyens et citoyennes dans le plus grand défi auquel de l'humanité est confronté aujourd'hui.

À l’occasion de la parution du 6e rapport du GIEC en mars 2023, le service de communication de l’Institut Pierre Simon Laplace m'a donné carte blanche pour réaliser une série de portraits photographiques des huit contributeurs et contributrices du Groupe d'experts International sur l'évolution du climat (GIEC) qui travaillent au sein de l’Institut Pierre Simon Laplace (IPSL) (https://www.ipsl.fr/decouvrir/mozaika/regards-intimes-sur-le-giec/)

L'objectif  de cette exposition est de pouvoir sensibiliser le public sur la notion d'engagement et de pouvoir, par ces témoignages, montrer la part d'humanité qui se cache derrière ces scientifiques. Cette part d'intime les rend plus accessible et permet également de comprendre de façon inédite les rouages internes de cette grande machine qu'est le GIEC. 

Sophie Szopa
Laurent Bopp
Valérie Masson-Delmotte
Jean-Louis Dufresne
Pascale Braconnot
Jean-Baptiste Sallée
Nathalie De Noblet-Coudurier
Robert Vautard

 

Dans ce dossier déroulant vous pouvez consulter à votre guise les portraits et les entretiens de Robert VAUTARD, Valérie MASSON-DELMOTTE, Laurent BOPP, Nathalie De NOBLET-COUDURIER, Jean-Baptiste SALLEE, Sophie SZOPA , Jean-Louis DUFRESNE et Pascale BRACONNO.

En tant qu’anthropologue, j'ai proposé que soit réalisés des entretiens sous la forme de récits de vie afin de mieux comprendre ce qu'avait été pour ces chercheurs et chercheuses cette aventure extraordinaire du GIEC. Ces entretiens sont le fruit d'une étroite collaboration avec Tiffaine Claveau journaliste scientifique pour l'IPSL. J'ai conçu la grille d'entretien puis Tiffaine a réalisé les enregistrements à la suite des shootings photographiques, et les a synthétisé et retranscrit.

Ces entretiens et ces portraits visent à faire découvrir de façon plus humaine cette instance internationale encore mal connue du grand public. Comment cette expérience a été vecteur de transformation chez ces scientifiques ? 

Je tiens à remercier ici ces contributrices et contributeurs pour l'enthousiasme dont ils ont fait preuve pour ce projet, leur disponibilité ainsi que leur sincérité et nos échanges chaleureux.

Je remercie également chaleureusement Marie Pinhas, responsable du service de communication de l'IPSL, qui m'a fait confiance pour mener à bien ce projet.

Vous pouvez découvrir les dessous du projet grâce au making off réalisé par Gaëlle Porte.